DE BOER Jakob Where Ravens Cry. Chine : Nazraeli Press, 2019, 52 p (plus une quintuple page à part), 42 photos N&B

Dés que je vois les premières photos de ce livre je ne peux m’empêcher de me le procurer, beauté de l’objet, beauté des photos, mystère, tout y est, mais d’abord les principales caractéristiques.

Coup de cœur :

Papier :
Mise en page :
Impression :
Récit photographique :

Quelques renseignements techniques

Titre : Where Ravens Cry

Auteur : Jakob de Boer
Éditeur : Nazraeli Press
ISBN : 978-1-59005-504-5
Date : 2019
Reliure : Livre relié
Dimension : 22,5 cm x 28,7 cm x 1,6 cm
Nombre de pages : 52
Nombre de photos : 41 photos de tailles presque identiques (autour de 15,7 cm x 12 cm avec quelques mm de changement parfois (1 photo sur 5 pages à part de 1,29 m x 20,7 cm).
Type : Monochrome (N&B)
Couverture : Couverture toilée très rigide en trois panneaux, qui enserre le livre (voir photos).
Format : Portrait
Papier : Pas de référence, beau papier, un peu chaud.
Langue : Anglais.
Prix : Environ 80 €.
Imprimé : en Chine.
Remarque : Numéroté, tiré à 500 exemplaires

Se le procurer : Se le procurer : Commandé à la Librairie des abattoirs, Toulouse (toujours sympathique, surtout vu la crise du au coronavirus).

Certains livres donnent envie, de les voir, les avoir, pouvoir les feuilleter, Where Ravens Cry fait partie de cette catégorie. Photos de l’Ouest Canadien en N&B, l’ambiance en est mystérieuse, forêt sombre, lacs noirs, lichens présents, l’auteur se réclame des mythes ancestraux, secret de la terre et des forêts …, le tout renforcé par la présence de masques anthropomorphiques. On est à mille lieux du livre sur le canada et ses érables rouges. Jakob de Boer nous apprends que petit, il a fréquenté ces lieux et que depuis il revient régulièrement se ré-imprégner de ces ambiances. Là ou la route finie, il laisse la voiture et continu à pied … pour notre plus grand bonheur. L’ensemble aurait peut-être gagné à être un poil plus grand mais le mystère n’aurait-il pas alors disparu ? C’est le premier livre de Jakob de Boer, et pour un coup d’essai c’est un coup de maitre, vivement la suite, à consommer sans modération.

(Après avoir cliqué sur une photo, la navigation entre elles est plus facile en se servant des flèches droite et gauche)








Le contenu








Sur le photographe pas grand chose sur le net, on apprend sur le site de la Chambre claire qu’il partage sa vie entre Toronto et Paris, le mieux est donc d’aller voir son site : Jakob de Boer.

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